Le patchwork...

6 février 2021

... et la gymnastique.

Deux choses bien différentes...et pourtant !...

Quand on commence un patch, on fait en général des blocs : c'est amusant, on joue avec les tissus et c'est pas trop fatiguant si on exclue les méninges.

Ensuite, on assemble les blocs : c'est pas trop amusant et lorsque les bandes atteignent de grandes longueurs cela devient même fastidieux.

Mais la gymnastique dans tout ça ? On y viens avec la mise sur molleton.

Si le patch n'est pas trop grand, cela peut se faire sur une table. Donc, éventuellement, quelques douleurs dorsales. Mais, si le patch fait 1,40m 1,80m

ou 2m, il faut le faire au sol et c'est là que tout se complique. Accroupie, à genoux, debout, penchée ( j'ai toujours une pensée pour les paysans qui

repiquent le riz à ce moment là )... le démarche est délicate le lendemain ... Attention les cuisses et les fessiers !

Pourquoi je vous parle de cela ?

Il est actuellement en cours de matelassage.

Et, là, autre problème. Je ne sais pas quilter dans tous les sens comme les amishs ( je quilte de droite à gauche ). Je suis donc obligée de tourner très

souvent l'ouvrage et... c'est LOURD ! Je ne vous dis pas les bras et le dos... Je ne quilte que pendant environ 1 heure par jour.

Le revoici